17 juillet 2013

Temps de lecture : 1 min

Les projections digitales nous entraînent-elles vers un « schizomorphisme » ?

Lanvin, Chanel, Kenzo, Moschino, Paco Rabanne, Valentino, Donna Karan, Issey Miyake... dernier tour d'horizon des campagnes du secteur luxe sur le digital avant les vacances ! Cette semaine, BLSTK Replay s'interroge sur le dédoublement du moi 3.0.

Tout a commencé avec un avatar sur Second Life… L’avènement du digital a modifié à jamais, par la projection virtuelle, la représentation de soi-même.

Depuis, les marques se sont emparées du phénomène pour des opérations marketing toujours plus performantes, grâce notamment au bond des nouvelles technologies. Réalité augmentée, big data ou applications mobiles, contrairement à la psyché, le reflet dans le miroir numérique est multiple. Des images, souvent idéalisées, qui dévoilent l’identité de plus en plus fragmentée du consommateur.

Au delà des interrogations sur les incidences psychologiques à long terme de cette perception « schizomorphique », on peut déjà constater que ces dispositifs digitaux exacerbent le Narcisse tapit en chacun de nous. Espérons que la fin sera moins tragique que celle de la légende…

Sophie Perrier, content manager @ Balistik#Art
Rubrique réalisée en partenariat avec Balistik#Art

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